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Messages
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Bonjour à tous
Je n’ai rien vu concernant les courses, la panne est toujours là et je sèche…
Ce matin j’ai fait le test suivant : Démarreur en place sur le moteur j’ai ôté le capuchon en bout du solénoïde et j’ai appuyé sur la vis de blocage (comme lorsque que l’on appui sur le bouton pour démarrer et que le circuit du solénoïde se ferme) donc je remplace manuellement l’effort axial provoqué par l’électro-aimant : Démarrage dans 100% des 5 ou 6 tests.
Mon hypothèse est donc un problème de solénoïde mais il est quasi neuf, je l’ai remplacé en juillet et depuis on ne peut pas dire qu’il ait été très sollicité car je ne me sers de ma Jeep qu’occasionnellement.
C’est très bizarre car sur l’établi quand je l’alimente il agit bien sur le pignon et celui avance jusqu’à en butée.
Je ne pense pas à un pb de lanceur car cela voudrait dire que le ressort est devenu plus raide avec le temps…
Vos avis sur cette hypothèse ou une autre idée / cause.
Merci
Stan
Bonjour
Il faudrait faire un essai en amenant le +24V directement sur le solénoïde, pour voir si c’est pas un mauvais contact quelque part entre la batterie et le solénoïde. Exemple: un raccordement au contacteur du tableau de bord de démarrage défectueux, un mauvais contact dans le contacteur du TB ou autre chose ?
Je comprends Filitosa mais dans le cas d’un défaut de ce type il ne se passerait rien du tout or dans mon cas le démarreur tourne donc le solénoïde est alimenté et avancer un peu pour (à minima) fermer le contact. Tu es d’accord avec le raisonnement ?
De toute façon rien ne n’empêche de faire le test…
Fili a raison une perte de puissance peut être la cause éssai comme il te dit un + direct de la batterie au solénoïde.
Des contacts creusé sur un contacteur suffi à cela, pour schématiser prenons par exemple des rupteurs creusé et bien on a un problème d’allumage, sur un contacteur deffectueux c’est la même chose,je sait pas si je me fait comprendre.
Bruno
Si le solénoïde est sous alimenté à cause d’un mauvais contact dans le bouton de démarrage, le solénoïde risque de ne pas être aussi vaillant , avec une action plus molle sur le lanceur et un contact moins franc dans le contacteur interne du solénoïde, avec en plus le risque d’endommager ce contacteur interne par un appui insuffisant pouvant dégrader les contacts.
Bonjour
Le solénoïde étant monté en série avec le démarreur, une résistance électrique excessive (charbons usés, collecteur encrassé …) de celui-ci diminuera l’intensité traversant le solénoïde donc sa puissance.
Je rencontre depuis des années un problème similaire sur mon démarreur sans avoir trouvé la solution. Aléatoirement, le démarreur “décroche” tout en continuant de tourner et parfois, le solénoïde ne s’enclenche pas du tout et je suis obligé d’alimenter directement le démarreur pour le faire tourner un peu avant que ça remarche. J’ai remplacé les charbons qui étaient très usés et nettoyé le collecteur sans amélioration notable. J’hésite maintenant à changer le solénoïde dans un premier temps avant d’envisager le remplacement de l’induit.
Il ne faut pas non plus oublier le lanceur qui se comporte comme une roue libre qui a besoin d’une certaine vitesse de rotation pour s’enclencher et qui peut être sujette à l’usure.
Il faut aussi soigner la masse, qui dans le cas de la M201 24V passe par le coupe contact, avec là aussi un risque de mauvais contact
L’intensité étant 4 fois plus faible en 24V qu’en 6V, les problèmes de qualité de contacts et de masse sont moins critiques.
Bon alors là, je dis : Monsieur Filitosa !
J’avoue que ce matin à 11h30, après le message de Filitosa je n’y croyais pas trop mais comme je l’ai écrit dans la foulée j’avais prévu de fire le test (sinon à quoi ça sert de demander des conseils et de n’en faire qu’à sa tête…)
Les messages suivants ont fini de me convaincre , j’avais d’autres chose de prévu cet après midi mais ça me titillait.
Je viens donc de faire un pont rapide entre +Batterie et excitation solénoïde : ça marche !!!
Je n’ai pas eu le temps de pousser les investigations mais maintenant que je sais où chercher :
– fil entre solénoïde et BP
– fil entre PB et coupe circuit
– puis plus loin si besoin
– analyse du BP lui même.
Ça devrait donc être plus simple, je vous tiendrai au courant du résultat et donc de la cause racine.
En attendant un grand merci à tous et à Filitosa en particulier.
Stan
Pour M201SC Comme ton solénoïde est neuf tu pourrais peut être envisager le remplacement du lanceur.
Lors de la restauration de ma jeep, j’ai découvert des fils pleins de vert de gris. Tout fonctionnait mais certainement moins bien. J’ai donc refait le faisceau avec des fils neufs.
Ton problème de manque de puissance vient peut être de fils trop vieux et corrodés … Ce qui semble être attesté par ton essai de ‘pont’ depuis la batterie.
Les chutes de tension, dans un circuit courant continu, peuvent être mesurées de façon très simple.
1) Exemple le plus simple : entre la borne de la batterie et la cosse qui est emboitée dessus.
Multimètre en position: mesure de tension continue (voltmètre).
Une des deux pointes de touche sur la borne de la batterie, l’autre sur la cosse qui est emboitée dessus.
On fait passer un courant : p.e. allumer les phares ou actionner le démarreur.
Si au niveau “borne/cosse” le contact est parfait, le voltmètre indique “zéro”.
Si le voltmètre indique une valeur, cette valeur est “la chute de tension”.
Les chutes de tension peuvent être mesurées en tous points d’un circuit.
2) En cas de doute sur un fil de câblage : Une pointe de touche sur une extrémité du fil, l’autre, à l’autre extrémité.
Faire passer un courant dans le circuit, si c’est celui des moteurs d’essuie glace, mettre l’interrupteur en position marche etc..
Etc,etc, etc: si un circuit est constitué de plusieurs sections via des boitiers de jonction, on peut faire autant de mesures que de points de jonction et noter à chaque fois la valeur de la chute de tension . Et ainsi déterminer les points défectueux.
Dans tous les cas, pour mesurer une “chute de tension”, il faut qu’un courant passe.
(Souvenirs d’une soixantaine d ‘années)
En cherchant un peu sur le oueb :
Hélas probablement traduit de l’anglais …
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