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En cherchant un peu sur le oueb :
Hélas probablement traduit de l’anglais …
Les chutes de tension, dans un circuit courant continu, peuvent être mesurées de façon très simple.
1) Exemple le plus simple : entre la borne de la batterie et la cosse qui est emboitée dessus.
Multimètre en position: mesure de tension continue (voltmètre).
Une des deux pointes de touche sur la borne de la batterie, l’autre sur la cosse qui est emboitée dessus.
On fait passer un courant : p.e. allumer les phares ou actionner le démarreur.
Si au niveau “borne/cosse” le contact est parfait, le voltmètre indique “zéro”.
Si le voltmètre indique une valeur, cette valeur est “la chute de tension”.
Les chutes de tension peuvent être mesurées en tous points d’un circuit.
2) En cas de doute sur un fil de câblage : Une pointe de touche sur une extrémité du fil, l’autre, à l’autre extrémité.
Faire passer un courant dans le circuit, si c’est celui des moteurs d’essuie glace, mettre l’interrupteur en position marche etc..
Etc,etc, etc: si un circuit est constitué de plusieurs sections via des boitiers de jonction, on peut faire autant de mesures que de points de jonction et noter à chaque fois la valeur de la chute de tension . Et ainsi déterminer les points défectueux.
Dans tous les cas, pour mesurer une “chute de tension”, il faut qu’un courant passe.
(Souvenirs d’une soixantaine d ‘années)
Grand merci à Lebel pour ces côtes qui m’auront tenu en haleine une bonne semaine.
C’est bien par rapport aux difficultés d’usinage du bronze fritté, que je faisais la remarque qu’il n’était pas obligatoire. Il va de soi que si des bagues en bronze fritté existent AUX COTES EXACTES, il y a avantage à les utiliser.
Quant aux dimensions, j’ai prévu d’en reparler quand le rectifieur/tourneur sera intervenu.
Je ne suis pas persuadé que du bronze fritté s’impose. Les efforts de rotation, dûs aux masselottes, et tangentiel dû à l’appui du ressort du rupteur, ne sont pas si importants. D’origine, il s’agit de bronze massif et apparemment non fritté.
Cependant, je pense que la lubrification de l’allumeur doit faire l’objet de soins suivis. Au niveau des deux bagues placées dans le corps de l’allumeur blindé 24 v, la seule lubrification envisageable est celle effectuée à la burette , au niveau de l’axe des masselottes sous le feutre.
Je comprends aussi que dégager le couvercle, six vis, les câbles blindés x4, n’encourage pas à l’opération.
Bagues recues et montées . Mais le jeu est toujours là ! Le fournisseur me dit tenir ses bagues de vieux stock militaires.
J’ai remplacé l’arbre d’allumeur par un autre provenant d’un autre allumeur 24v où il n’avait pas de jeu.
Il a lui aussi du jeu dans les bagues neuves !
Donc le jeu ne peut provenir que des bagues neuves.
Conclusion, une dizaine d’euros dans le commerce pour apprendre… la côte extérieure exacte des bagues.
Et c’est mon tourneur/rectifieur favori qui va faire le job.
A lire les côtes indiquées par filitosa, l’allumeur Autolite n’a pas les même bagues que celui des M20; L’arbre du M201 ayant un diamètre extérieur de 12.5 mm.
Ce qui explique que Jeepsudest propose des bagues spécifiques au M201.
Je vais investir 3.95 x 2 chez Jeepsudest, et comme ça j’aurai les bagues qui vont bien .
Merci à tous les deux pour ces précieux renseignements.
Un essai avec du Start Pilot donnerait quelque information .
La fourchette “D” comporte à l’extrémité de chacune de ses deux branches, au niveau du lanceur, de petites pièces en plastique .
Ces pièces poussent et ramènent le lanceur. Ces pièces peuvent être cassées, absentes, ou s’être échappées lors du remontage.
On les devine sur la vue en coupe , sorte de croissant de lune.
C’est vendu au détail.
Lorsque le démarreur est actionné, tandis que le solénoide via la fourchette rapproche le lanceur de la couronne, un “petit courant” met le moteur du démarreur en lente rotation , de sorte que le lanceur s’engrène plus facilement.
Si 12.5 mm rentre, et 13.0 mm, rentre pas, c’est probablement que la côte est en pouces.
Au cas particulier : 12.7mm soit 1/2 pouce.
As tu mesuré le diamètre de l’arbre du démarreur qui vient se placer dans la bague?
Les tarifs GSAA de l’époque me laissent rêveur.
D’après le numéro de téléphone de GSAA à 10 chiffres, les tarifs de la pub remontent à 1996 au maximum.
Le site insee.fr propose un convertisseur francs/euros qui intègre l’érosion monétaire (inflation).
Le convertisseur pour l’ensemble “Kit carrosserie, caisse, capot, deux ailes, calandre et pare brise”
proposé à 11500 francs de 1996, indique pour 2023, une valeur correspondante de
Deux mille six cent quatre vingt et un euros …
J’ai encore un peu de place , à ce tarif, j’en prends de suite une douzaine !
@mb94 ” je pense qu’il est possible en forçant sur le volant roues bloquées en butée”
La vis et le secteur denté sont , malgré tout, des pièces massives. Je pense qu’en forçant sur le volant , au cas particulier , trois branches en fil d’acier, le volant casserait avant que le boitier souffre. Mais je ne vais pas tenter l’expérience.
ps: La vis et les patins qui s’y encastrent n’ont pas de marques autres que de l’usure .
On peut compter le nombre de cannelures visibles sur la photo : seize. Estimer celles que l’on ne voit pas: total entre 32 et 36.
La torsion, d’une cannelure, subie par l’arbre serait donc de 360°/36 soit 10° d’angle.
On voit distinctement des craquelures , sans pouvoir dire jusqu’à quelle profondeur du métal elles se prolongent.
Je pense qu’une roue avant a pris un gros choc , en ligne droite.
Mais je n’ai pas trouvé de dommage visible ou mesurable ailleurs sur l’auto.
Ce genre de “défaut” ne peut être détecté au contrôle technique (sans démontage).
Si l’arbre se rompt, plus de guidage de l’auto.
De mon temps (1970), on attachait avec un fil de fer fin , la fourchette à sa rotule. De sorte que si , d’aventure ,ultérieurement, il fallait remplacer le câble d’embrayage, la fourchette ne tombe pas dans la cloche. Je me demande s’il n’y a pas eu des fourchettes avec une sorte de clips pour maintenir ensemble fourchette et rotule…
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