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bonjour à Tous,
merci pour vos interventions.
Beaucoup d’entre vous m’ont conforté dans mon idée.
La pièce est à remiser comme Hors service.Merci pour le compliment sur le travail.
Je me suis fait plaisir à souder en ligne du tube.
Mais comme c’est une pièce de sécurité; et que l’on n’est pas en Afrique (hein Christophe) la pièce ne sera pas remontée.Cordialement Alexandre 😉
Bonjour JRS 60
le mousqueton que tu décris est conforme à la date de ta jeep.
il s’agit du modèle late, plus rapide à fabriquer.
Il ressemble un peu à un mousqueton pour le collier d’un chien.Cdlt Alexandre
Mdr,
il va nous faire tout son garage ne photo 🙂
Si je dis , il y a deux kits (2pièces par paquet) , est-ce que j’ai bon?
@+
Bravo ,
c’est la bonne réponse
je ne sais même pas comment j’ai pu louper le truc.
J’en ai aussi de ces bazar , n’est-ce pas Christophe
.Cdlt
Bonjour
pour moi c’est une copie.
Les copies de chez MVSPARES; sont toutes estampillées avec le N° 7 de fonderie.Le numéro GPW est également étrange.
Cdlt
Salut Jean-Yves,
pour le faisceau que recherches-tu ?
Le plan de montage ou juste les photos?Pour la barette de jonction ou les accessoires ; ils sont à monter avant je pense.
Le pare chaleur se monte ensuite.
Une fois posé il te faut cabler .Cdlt Alexandre (oui le même que ce matin)
😉Une fois le tapis de sol installé, deux baches sont tendues et serviront de toit.
Le couchage est ensuite organisé.
Certain voyage , grand luxe et dispose même d’un lit et d’un savon ! ! !L’oreiller et le chocolat , ont malheureusement été oublié. ( à prévoir pour une autre sortie)
L’inconvénient majeur, est qu’un campement de fortune attire son lot de mendiant en tout genre, qui rapidement cherche le gîte et le couvert . . .
Rapidement l’apéro est servi; accommpagné de . . .
. . . Christalline
Défaut d’organisation, aucune autre boisson n’a été prévu.
Désolé pour les amateurs de grands crus et boissons à bulles ! ! !
Le camp ne serait bien sur pas complet sans une petite touche personnelle et patriotique .
Le court d’eau impétueux, enfin traversé par tous les équipages, il faut penser à organiser le lieu de bivouac pour passer la nuit.
Une zone presque plate est choisie, et le fauchage commence.
Vous avez vu la technique e fauchage à l’ancienne?
Il faut utiliser le talon de la pelle , les orties fougères et autres n’y résistent pas ! ! !Une fois la zone dégagée, on installe une bache pour s’isoler du sol et éviter l’humidité.
On recule ensuite les deux titines (ça fait de bon presse-paiers)
Bon sang , mais c’est vrai il y a une suite . . .
Et la première journée n’est en réalité pas tout à fait terminée . . . mais le jour va déjà déclinant.Il nous faut donc penser au bivouac; reprendre des forces pour la journée du lendemain. . .
Pilou qui dans ses années de prime jeunesse ( c’est-dire si cela fait longtemps . . .) pratiquait la pêche avec son grand-père.
Il connaît un petit coin tranquille.
Endroit calme , bucolique en bordure de ruisseau.
Le point à atteindre est défini , il n’y a plus qu’à le rallier, 15 petites minutes et le bitume se transforme de nouveau en piste dans un sous-bois.Au bout de la descente; nous attend le petit ruisseau et la clairière où nous passerons la nuit.
La première jeep est passée, moment de plaisir intense pour son conducteur.
Le drame se profile pour le second conducteur. . .
il doit lui aussi traverser l’étendue d’eau ! ! ! 😀il hésite devant l’obstacle , interrogatif sur le devenir de sa monture.
Finalement il s’élance dans un style tout particulier, la technique du bon caillou .
Il s’agit de positionner les roues sur les cailloux, afin de ne pas toucher le fond du court d’eau !
Si; si , ça marche !
[ Edité par upyoursbaby le 29/7/2016 0:00 ]
et me voilà sous l’opprobre et les quolibets . . .
Bref . . .Pilou zigzague donc d’un côté à l’autre de la piste; gesticule.
Je ne comprends ses signes et son amusement qu’en arrivant au niveau du premier point indiqué.
Il a en réalité trouvé des flaques, que le sous bois a préservé.
En bon sanglier ardéchois , il oblique de l’une à l’autre pour oindre sa titine de boue de sous bois.Bien évidemment je zigzague également , mais avec une fréquence toute différente qui me permet de garder les roues au sec 😉 😉
Jusqu’au moment où, je n’ai pas le choix.
Elle est là, bien à l’ombre, grasse de boue, et dans sa perfidie ultime, elle occupe toute la largeur du chemin.Elle ne me laisse aucune échappatoire, je dois la traverser.
Les roues trempent alors jusqu’à mi-pneus.
QUELLE HORREUR ! ! !
L’ascension continue, et l’on finit par joindre un petit bout de départementale, qui va nous servir de liaison, pour pousuivre la ballade.
poursuivons . . .
Durant notre pose déjeuner ; un cycliste étrange nous croise, et discute.
Propos surréalistes; dans un environnement improbable, où il nous explique la difficulté des pistes, qu’il est perdu, mais qu’il sait où il va . . .
Pilou lui fait la conversation pendant que j’avale mon pavet de saumon au riz (merci WilliamSau…)Nous remballons finalement et quelques bouteilles plastiques abandonnées sont récupérées ( ah bon , j’savais pas que l’on est en mission eco . . . faut dire qu’avec 12 ou 15 litres au 100 km . . .)
La piste reprend et l’on rejoint une zone fraiche en sous-bois, bien agréable après le repas au soleil.
Croisement de ponts, petites marches en pierre, rien d’extraordinaire, mais le gout de rouler est là et on en profite.
Jusqu’ici , tout allait bien ; mais CaporalPilou commence à me faire de grands signes.
Il m’indique tantot à droite tantot à gauche le sol.
Il zigzague, fait des embardées.La direction aurait-elle un problème ? ? ?